mercredi 21 janvier 2009

Darkcid #16


Argh, je me rends compte maintenant que je ne suis pas sûr que la deuxième case soit facilement compréhensible...


4 commentaires:

Anonyme a dit…

La deuxième case ? Celle où Dark Cid transperce le tatoué (ahah) par tous les pores lui permettant un nombre incalculable de percings supplémentaires ; et où, au second plan, on voit une souris danser la java sur le Kilimandjaro en compagnie du Dalaï Lama ? Non non, on la comprend finalement bien, surtout par son caractère acteur/spectacteur que joue le rôle de la souris.

~Leto

Bramadanthe a dit…

Ben que dire de plus que ton ami qui avais déjà tout compris et qui nous l'as prouvé en citant Kant...
Par ta prestigieuse référence au symbolisme Afghan du 17ème siècle, tu démontre non seulement l'importance de la douleur chez les Papous nains du Kalahari, mais également que tout est finit à Roswell...
Bref une case magnifique (que n'eut pas renié Botticelli himself, mais je m'égare oh oh (rire pédant...)), ne vous inquiétez pas mon bon votre littérature dépasse l'entendement (on comprend quoi...)

Ruxhart a dit…

Leto & Bramadanthe > Merci pour vos commentaires, je suis rassuré sur mon travail maintenant.
Par contre, concernant la tendance de mes lecteurs à la surinterprétation, un peu moins.

Dex a dit…

NON ! Rien n'est terminé à Roswell ! Un jour vous verrez on en reparlera (d'ailleurs je vais en stage au nouveau Mexique, Z51 que ça s'appelle, je vous recontacte après, ou pas...)